vendredi 30 mai 2008

Les prédateurs de la culture sont au travail, parfois sournoisement, parfois ouvertement: Emilie Valantin se voit couper les vivres et le gîte à Montelimar par une municipalité peu respectueuse de son travail et de l’apport de sa présence dans cette ville depuis 33 ans.
Nous avons connu le même scénario à Epinal il y a quelques années. La situation pour les Compagnies devient de plus en plus difficile, et la désinvolture des élus et des pouvoirs publics est de plus en plus évidente.

Au dela du soutien que nous souhaitons apporter à notre amie Emilie, c’est de la crise de toute la profession qu’il s’agit.
Saurons nous réagir ? Il y a urgence.
La prudence de nos organisations professionnelles est-elle raisonnable ?
Nous exprimerons nous quand il sera trop tard ?

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